Je remarque
que je ne vous ai pas donné de mes nouvelles depuis quelques semaines…
Il faut convenir d'une chose, l'été a été chaud et beau, deux très bonnes raisons pour flâner, dormir, dormir et dormir. Puis est arrivée la rentrée avec ses grosses bottes en caoutchouc et du coup, finis le farniente et les cônes givrés, bonjour le retour au boulot et son métro. Pris dans son costume de travailleur mal ajusté, on se met à s'agiter en tous sens, croyant vainement - crédules que nous sommes - être capable de rattraper le retard accumulé ces trente dernières années et, après deux à trois nuits à se réveiller en tapant sur le matelas comme sur un clavier d'ordinateur, Chaplin en rit encore! on réalise que finalement on se mettrait bien en vacances prolongées… Cela, on le sait, est chose impossible mais par contre une pause régulière est elle de mise.
Donc parlons peu mais parlons bien, voici en images et en mots un résumé de ma trépidante vie de parisienne :
Il faut convenir d'une chose, l'été a été chaud et beau, deux très bonnes raisons pour flâner, dormir, dormir et dormir. Puis est arrivée la rentrée avec ses grosses bottes en caoutchouc et du coup, finis le farniente et les cônes givrés, bonjour le retour au boulot et son métro. Pris dans son costume de travailleur mal ajusté, on se met à s'agiter en tous sens, croyant vainement - crédules que nous sommes - être capable de rattraper le retard accumulé ces trente dernières années et, après deux à trois nuits à se réveiller en tapant sur le matelas comme sur un clavier d'ordinateur, Chaplin en rit encore! on réalise que finalement on se mettrait bien en vacances prolongées… Cela, on le sait, est chose impossible mais par contre une pause régulière est elle de mise.
Donc parlons peu mais parlons bien, voici en images et en mots un résumé de ma trépidante vie de parisienne :
A comme
artistes peintres, sculpteurs et dessinateurs rencontrés au GMAC
2010.
B comme
les bottes à clous que je mettrai bien volontiers dans le c… de quelques voisins qui prennent le hall de l'immeuble pour une salle des pas perdus.
C comme dans le carnet de voyage que j'ai commencé à inventer sur MON Paris.
E comme érotisme vu comme source d'inspiration et rapport au monde des formes.
F comme FUIR!
I comme dans les idiotismes, locutions verbales imagées, sur lesquelles je me suis penchée récemment…
Hannah et Anna dans Blanc Bonnet et bonnet blanc.
K comme dans Kitano et son exposition délirante, colorée et interactive à la Fondation Cartier que j'ai eu le plaisir de visiter. Sacré gosse de Peintre!
*1
M comme Michaux. Henri Michaux, poète, peintre et dessinateur d'origine belge dont je découvre par fragments l'oeuvre
poétique et notamment “Plume”.
*2
N comme dans les natures mortes que l'automne sème un peu partout pour peu qu'on s'attarde sur le
chemin…
O comme dans Thomas Ott, artiste suisse spécialisé dans la bande dessinée sans parole sur carte à grattée dont la Galerie Martel a proposé une présentation remarquable au mois de septembre.
*3
P comme dans Photoshop, logiciel de retouche d'images que j'utilise de plus en plus régulièrement pour des mises en couleurs
de dessin au trait et sur lequel parfois, je m'énerve un peu.
S comme dans les souvenirs dans lesquels je me noie… parfois.
W comme Winschluss dont je découvre il y a quelques jours le travail atypique au travers du film Villemolle 81, projeté au
Point éphémère dans le cadre de l'exposition organisée par E.M. Meroll, les éditions Les Requins Marteaux et Arts
Factory.
*4
Crédits photographiques:
1- Office Kitano Inc.
2- Universal Photo pour les éditions Poésie /Gallimard
3- Galerie Martel
4- Winschluss
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Ema Dée vous remercie de votre curiosité et de votre visite. À bientôt !